PrésentationQui suis-je ?Passionné de druidisme, j’ai toujours cherché à en retrouver les lumières. De fait, les historiens maîtres en la matière, tels Christian Guyonvarc’h et Françoise Le Roux, ainsi que Jean Markale apportèrent beaucoup d'informations. Cependant, selon mon intuition, celles‑ci ne suffisaient point à la réalisation d’un druidisme nouveau dont les anciens seraient fiers. Pour ce faire, il me fallait retrouver les traditions vivantes dont la métaphysique pouvait çà et là, grâce à certaines convergences, faire éclore de nouvelles connaissances sur le druidisme. Comme différentes comparaisons avaient été établies avec le brahmanisme (cousin hindou du druidisme), je préférais exploiter des angles de vues nouveaux, et m’intéressai au système spirituel de l’ancien Dahomey. J’eus la chance de rencontrer un très grand maître (devin et guérisseur) qui me révéla au cours de nombreux voyages la voie spirituelle qu’il empruntait à la suite de ses ancêtres. Je fus agréablement surpris des nombreux point communs entre cette voie et ce que l’on savait déjà du druidisme. Cependant, il manquait encore des éléments pour reconstruire le « puzzle » druidique. Et il était hors de question ici de céder à l’oecuménisme et à divers amalgames déplacés, c’est pourquoi mes recherches ont toujours été menées dans un état d’esprit éclectique, ne prêtant aucune oreille aux extrapolations. Les découvertes du docteur Francis Lefebure m’ont apporté ces lumières, me permettant alors de mettre à jour un nouveau druidisme digne de ce nom. Le docteur Lefebure a expliqué les bases physiologiques des techniques méditatives (qui participent de toute tradition). Il a créé le mot « phosphénisme » et la méthode « mixage phosphénique » à la suite de ses découvertes sur la lumière et son impact sur le fonctionnement cérébral et la conscience, proposant alors des exercices stimulant certaines facultés cérébrales. J’ai connu le phosphénisme en 1991, et quelques années plus tard, je devins professeur de l’École du docteur Lefebure dirigée par monsieur Daniel Stiennon, son héritier spirituel. Passionné de la nature et de l’histoire des traditions, j’ai développé une adaptation naturelle du phosphénisme que j’ai étendue dans les domaines de la mythologie et de la métaphysique et à laquelle j’ai donné un nom, la « naturophénologie », dont les bases sont exposées dans mon livre L’Homme Lumière et le Surnaturel (pour en savoir plus : naturophenologie.com). Depuis vingt-cinq années, j’ai poursuivi mes recherches, expliquant ainsi à travers mes livres plus précisément les piliers théoriques et pratiques du monde initiatique et des traditions sacrées. La naturophénologie, de même que le chamanisme, signifie dans son sens premier la spiritualité émanée du contact avec le sauvage et les règnes de la nature. Dans un second sens, plus large, la naturophénologie englobe l’ensemble du système spirituel, à l’instar du druidisme ou du shintoïsme (shinto veut dire la « voie des dieux » [forces divines habitant la nature]), soit non seulement les divinités terrestres, mais aussi les divinités célestes.
Les derniers livres édités en 2020 sont le fruit de longues années de recherche et de pratiques individuelles et collectives. Ils détiennent donc la vertu d’être plus précis que les premiers ouvrages, et de corriger également quelques petites erreurs présentes dans les éditions précédentes. Vous pouvez ainsi accéder à un savoir complet. Ce sera à vous de le mettre en œuvre pour expérimenter tous les bienfaits de ce système métaphysique. |
Par Gilles GABLAIN Naturo-Phosphénologue diplômé de l’École du dr LEFEBURE. Assisté par : Lucile QUACH VAN LÊ diplômée en neurosciences. |
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